Dysrégulation émotionnelle
- Dysrégulation émotionnelle
Détail de l'accompagnement
Apprendre à accueillir, comprendre et apaiser ses émotions
Les émotions font partie intégrante de notre vie : elles nous informent, nous protègent, nous relient aux autres.
Mais lorsqu’elles sont trop intenses, envahissantes ou mal comprises, elles peuvent devenir sources de grande souffrance. On parle alors de dysrégulation émotionnelle.
En thérapie, il est possible d’apprendre à se reconnecter à ses émotions sans se laisser submerger par elles, ni les fuir.
Pourquoi accompagne-t-on la régulation émotionnelle en thérapie ?
Parce que l’émotion, si elle n’est pas reconnue, contenue ou exprimée de façon ajustée, peut :
• Provoquer des réactions excessives ou inadaptées (colère, panique, repli)
• Être enfouie et se transformer en symptômes physiques ou psychiques
• Créer des tensions dans les relations (conflits, malentendus, ruptures)
• Nourrir une mauvaise estime de soi ou un sentiment de honte
• Déconnecter la personne de ses besoins profonds
La thérapie permet de sortir des automatismes de fuite, de contrôle ou de débordement, et d’installer une relation apaisée avec son monde intérieur.
Problématiques fréquentes liées à la dysrégulation émotionnelle
Emotions envahissantes, explosives ou imprévisibles
• Crises de colère incontrôlables ou impulsivité
• Accès de tristesse intense, pleurs inexpliqués
• Anxiété permanente, peurs irrationnelles
• Réactions disproportionnées à des situations banales
Difficulté à identifier ou exprimer ses émotions
• Incapacité à mettre des mots sur ce que l’on ressent
• Blocages émotionnels, sensation d’être “figé·e” ou “vide”
• Difficulté à pleurer, à crier, à se laisser aller
• Malaise face à l’émotion des autres (empathie excessive ou rejet)
Hypersensibilité ou hyperréactivité
• Sensation d’être “à fleur de peau”
• Réactions intenses à la critique, au rejet ou à la frustration
• Difficulté à supporter les conflits ou les imprévus
• Besoin constant d’approbation, peur d’être mal perçu·e
Stratégies de contrôle ou de déconnexion
• Perfectionnisme, rigidité, besoin de tout maîtriser
• Rationalisation excessive des émotions
• Déconnexion du corps ou des ressentis (dissociation)
• Addictions ou comportements compulsifs pour “anesthésier” l’émotion
Symptômes associés
• Troubles anxieux, phobies, stress chronique
• Fatigue émotionnelle ou épuisement mental
• Troubles somatiques (migraines, tensions, troubles digestifs…)
• Troubles alimentaires ou auto-agressivité
En thérapie, nous travaillons à :
• Identifier les émotions et leur fonction protectrice
• Comprendre leur origine (actuelle ou issue du passé)
• Apprendre à accueillir l’émotion sans s’y perdre, ni s’en couper
• Développer des outils de régulation émotionnelle ajustés
• Restaurer un sentiment de sécurité intérieure et d’estime de soi
• Retrouver une capacité d’agir, de choisir, de dire
Réguler ne veut pas dire contrôler :
Réguler ses émotions ne signifie pas les refouler ni les “dompter”, mais apprendre à les écouter avec justesse, pour ne plus en être prisonnier·ère. Cela passe par un travail respectueux du rythme de chacun·e, souvent en lien avec l’histoire d’attachement, les expériences précoces ou les mécanismes de protection mis en place.
Les émotions font partie intégrante de notre vie : elles nous informent, nous protègent, nous relient aux autres.
Mais lorsqu’elles sont trop intenses, envahissantes ou mal comprises, elles peuvent devenir sources de grande souffrance. On parle alors de dysrégulation émotionnelle.
En thérapie, il est possible d’apprendre à se reconnecter à ses émotions sans se laisser submerger par elles, ni les fuir.
Pourquoi accompagne-t-on la régulation émotionnelle en thérapie ?
Parce que l’émotion, si elle n’est pas reconnue, contenue ou exprimée de façon ajustée, peut :
• Provoquer des réactions excessives ou inadaptées (colère, panique, repli)
• Être enfouie et se transformer en symptômes physiques ou psychiques
• Créer des tensions dans les relations (conflits, malentendus, ruptures)
• Nourrir une mauvaise estime de soi ou un sentiment de honte
• Déconnecter la personne de ses besoins profonds
La thérapie permet de sortir des automatismes de fuite, de contrôle ou de débordement, et d’installer une relation apaisée avec son monde intérieur.
Problématiques fréquentes liées à la dysrégulation émotionnelle
Emotions envahissantes, explosives ou imprévisibles
• Crises de colère incontrôlables ou impulsivité
• Accès de tristesse intense, pleurs inexpliqués
• Anxiété permanente, peurs irrationnelles
• Réactions disproportionnées à des situations banales
Difficulté à identifier ou exprimer ses émotions
• Incapacité à mettre des mots sur ce que l’on ressent
• Blocages émotionnels, sensation d’être “figé·e” ou “vide”
• Difficulté à pleurer, à crier, à se laisser aller
• Malaise face à l’émotion des autres (empathie excessive ou rejet)
Hypersensibilité ou hyperréactivité
• Sensation d’être “à fleur de peau”
• Réactions intenses à la critique, au rejet ou à la frustration
• Difficulté à supporter les conflits ou les imprévus
• Besoin constant d’approbation, peur d’être mal perçu·e
Stratégies de contrôle ou de déconnexion
• Perfectionnisme, rigidité, besoin de tout maîtriser
• Rationalisation excessive des émotions
• Déconnexion du corps ou des ressentis (dissociation)
• Addictions ou comportements compulsifs pour “anesthésier” l’émotion
Symptômes associés
• Troubles anxieux, phobies, stress chronique
• Fatigue émotionnelle ou épuisement mental
• Troubles somatiques (migraines, tensions, troubles digestifs…)
• Troubles alimentaires ou auto-agressivité
En thérapie, nous travaillons à :
• Identifier les émotions et leur fonction protectrice
• Comprendre leur origine (actuelle ou issue du passé)
• Apprendre à accueillir l’émotion sans s’y perdre, ni s’en couper
• Développer des outils de régulation émotionnelle ajustés
• Restaurer un sentiment de sécurité intérieure et d’estime de soi
• Retrouver une capacité d’agir, de choisir, de dire
Réguler ne veut pas dire contrôler :
Réguler ses émotions ne signifie pas les refouler ni les “dompter”, mais apprendre à les écouter avec justesse, pour ne plus en être prisonnier·ère. Cela passe par un travail respectueux du rythme de chacun·e, souvent en lien avec l’histoire d’attachement, les expériences précoces ou les mécanismes de protection mis en place.